Fondation Lancaster Magnétisme, Hypnologie, Hypnose: Consultations, Stages, Séminaires, Conférences, Séances pour particuliers, sociétés, sportifs... digital_next.gifcontact

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    Magnétiseur vient de magnétisme : Magnès, qui est le nom Grecque du lieu où fut trouvé la pierre d'aimant. 
    Le magnétisme est une énergie propre à certaines personnes, qui leur donne le dont de guérir. Cette faculté, cette énergie n'appartient pas à tous les hommes. Ce qui signifie qu'il ne suffit pas d'apprendre à magnétiser pour être magnétiseur.
     
    Le magnétiseur par appositions de ses mains, mais suivant le besoin il peut utiliser le souffle où à distance par la pensée, les yeux, transmet son propre influx nerveux à l'autre personne. Il utilise l'énergie transmise par son cerveau.
     
    Le magnétisme est un fait naturel, la durée et le nombre de séances dépendent de la réception et la réceptivité du patient, ainsi que l'harmonie entre lui et le guérisseur.
     
    Quelque soit le nom que l'on lui attribue, Guérisseur, Magnétiseur, celui-ci veut guérir. Le libre arbitre de chacun et de vouloir profondément guérir ou pas !!!
     
                       Fluides, radiations, force de foi et harmonie universelle  
     
    Le magnétisme n'a été révélé au grand public, et même aux médecins, que par les célèbres expériences de Mesmer, au XVII°siècle.A notre époque, les Hindous, combinant avec le magnétisme leur profonde science du Souffle, sont arrivés là, comme en bien d'autres domaines, à une maîtrise inégalée, sauf par des individus isolés.Le guérisseur mystique fait agir sur le plan physique les forces du plan le plus haut qui soit, le plan spirituel, et la puissance de l'Absolu lui-même; c'est dire que les forces qu'il appelle et qu'il dirige sur le malade.Le guérisseur emploie en toute connaissance de cause; sa méthode, son moyen d'appel et de "branchement", c'est la prière, une prière d'union totale avec l'Inconnaissable, d'adhésion à l'harmonie universelle, en un mot de réintégration.Et qu'il fait descendre sur le malade qu'il guérit, c'est la force qui maintient la cohésion du Cosmos, le principe même de cette harmonie.Aussi n'est-il pas besoin d'être croyant pour être guéri.La force de la prière; non pas des mots que l'on marmonne avec naïveté, mais de l'état de prière, très proche de l'état d'extase où aboutissent les ascèses mystiques.Car il ne faut pas se représenter le guérisseur mystique comme un quelconque bigot apportant au Dieu de son choix le spectacle et l'offrande de son complexe d'infériorité: le guérisseur mystique a la tête froide, c'est un praticien, un "technicien" pourrait-on dire,de la mystique.Son état de prière, agissant sur le plan spirituel, aboutit à la guérison sur le plan matériel selon le processus que nous venons de mentionner.L'action thérapeutique de l'"état de prière" a été constatée par le docteur Alexis Carrel qui la décrit dans son célèbre ouvrage: l'Homme, cet inconnu.L'explication occultiste du phénomène est simple; c'est toujours la même: aimentation du désir de guérison et appel à une Entité ou, mieux, conscience de l'Absolu, d'où provient la réussite, même à distance et sur photographie. Ce qui irrite aussi les magnétiseurs est de ne pas parvenir à comprendre pour quelle raisons tant de cas rebelles cédant devant le magnétisme, ce dernier demeure parfois renié. Cette attitude pouvait à la rigueur se défendre à une époque où le magnétisme demeurait embourbé dans les ornières pseudo-philosophiques, mais cette conception du magnétisme appartient au passé. Le magnétiseur moderne, c'est le plus souvent un homme cordial, parlant le langage de tous, ne se donnant que pour ce qu'il est, un homme "comme les autres".Les phénomènes psychiques ont toujours existé et ont été connus dès la plus haute antiquité. Ce que nous nommons aujourd'hui " MAGNETISME", ","Hypnotisme","Télépsychie", etc..,constituait la partie expérimentale de la science secrète réservée dans l'Inde, la Chaldée, l'Egypte, à une caste privilégiée qui assumait à la fois les fonctions de prête, magistrats et médecin. De générations en générations, les anciens initiés se transmettaient le secret de leur pouvoir, et on peut dire qu'ils en avaient poussé le développement à un point duquel les modernes sont encore loin. Ils semblent en effet, avoir exercé un ascendant presque absolu sur le physique et le moral de leurs semblables, guérissant les corps d'un mot, soumettant les âmes d'un regard. Divers auteurs pensent même qu'ils auraient discerné et utilisé certaines formes de l'énergie que nos savants actuels n'ont pas encore re-découvertes. Quelque chose de cette science dite occulte, parce que cachée, soignesement, à la foule, survécut aux civilisations disparues.
     
    L'histoire atteste, en effet, les prodiges accomplis, à diverses époques, chez tous les peuples, par des individus paraissant avoir hérité de la puissance des HIEROPHANTES.

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Conclusions historique:

L'hypnose et le magnétisme ont connu une grande épopée lors de la fin de la seconde guerre mondiale, remise au goût du jour en Grande-Bretagne, ils s'avèrent être les seules et uniques méthodes pour venir à bout de certaines névroses de guerre.

"l'hypnose de spectacle" dite fascinatoire est rejetée par la plupart des scientifiques qui pratiquent eux-mêmes l'hypnose frustre. Hors au cours de son histoire et encore de nos jours  l'hypnose a toujours connu une évolution empirique. Les Psychiatres, psychologues, psychanalystes réputés se sont toujours inspirés de méthodes utilisées dans les music-hall pour les modifiés à leur "sauce".Berheim, Charcot, Freud, Chertock, Erickson ont emprunté des expériences vues sur scène et ont cherché à les reproduire. Pourquoi cette attirance de la scène? En fait, l'on découvre que la production d'effets dans le contexte du collectif est plus probant qu'en individuel, plus de personnes y sont sensibles, l'induction peut être pour certain immédiate. Les résistances tels que dominé face à dominant peuvent s'évanouir. A ce titre on connaît parfaitement le réflexe qu'on peut avoir face à quelqu'un qui baille, le groupe est un facteur communicatif.

Le magnétisme quand à lui fait peau neuve avec l'émergeance des énergéticiens de l'Université de Los Angelès qui pratiquent en hôpital. Pour la plupart ils n'ont pas le statut de médecin mais sont reconnus par les scientifiques comme ayant une utilité dans le domaine médical, et sont suivits et accompagnés par eux.

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Glossaire:

 

Recherche de termes et de sources:

 

blueboard_next.gifMagnétisme Mesmérienblueboard_next.gifHypnose Caycédienneblueboard_next.gifHypnose Ericksonnieneblueboard_next.gifMagnétisme-Hypnose Lancastérienneblueboard_next.gifMagnétiseurblueboard_next.gifHypnoseblueboard_next.gifConclusions historique.

 

 

Magnétisme Mesmérien

Mesmer gagne Paris et y publie en février son premier "Mémoire sur la découverte du magnétisme".
Installé à Paris, il y séjourne entre les années 1778 et 1785, protégé par Marie-Antoinette, il ouvre un cabinet Place Vendôme.

Là, Mesmer défraya la chronique pour deux raisons:
- d'une part pour sa théorie sur l'existence d'un fluide universel pouvant être canalisé et isolé à des fins thérapeutiques, qu'il nomme le "magnétisme animal" : "l'influence des planètes s'exerce sur le corps humain au moyen d'un fluide universel dans lequel tous les corps sont plongés".
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Hypnose Caycédienne

Confronté professionnellement à l'observation d'états de conscience modifiés et obligé d'utiliser des procédés thérapeutiques violents (comas insuliniques, électrochoc sans anesthésie), il s'interroge sur la nécessité de modifier ou altérer ainsi la conscience dans un but thérapeutique. Il recherche alors d'autres options et se tourne d'abord vers l'hypnose clinique. En 1959, il créé la Société Espagnole d'Hypnose Clinique et Expérimentale, à Madrid.

Rapidement, l'hypnose ne lui convient plus. D'une part, ses observations cliniques ne coïncident pas toujours avec les théories. D'autre part, le terme d'hypnose est souvent associé à quelque chose de mystérieux, voire magique et suscite la méfiance. Il créé ainsi le terme sophrologie en octobre 1960 et fonde la même année le premier département de sophrologie clinique à Madrid, dans le service de neuropsychiatrie du Pr. Lopez Ibor.

La sophrologie est, à cette époque, techniquement proche de l'hypnose, même si le rapport au patient s'y inscrit davantage dans une approche humaniste.

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Hypnose Ericksonniene

né le 5 décembre 1901 à Aurum (Nevada) et décédé le 25 mars 1980 à Phoenix (Arizona), est un psychiatre américain connu pour ses travaux sur une hypnose très controversée. L'approche innovante d'Erickson repose sur la certitude que le patient possède les ressources pour répondre de manière nouvelle aux situations qu'il rencontre : il s'agit d'utiliser ses compétences et ses possibilités d'adaptation personnelles. Pendant près d'un demi-siècle, Erickson a joué un rôle équivoque dans le domaine du renouvellement de l'hypnose à laquelle il n'a jamais participé. Contrairement aux idées reçues, c'est son épouse après sa mort qui a fait connaître les travaux de son mari . Au cours de sa carrière, il a notamment collaboré avec Margaret Mead, Gregory Bateson, Lawrence Kubie et Aldous Huxley.

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Magnétisme-Hypnose Lancastérienne

Confronter à l'hypnose frustre et déçu de la sophrologie dans les années 70  il bâti sa propre méthodologie et devient rapidement le précurseur des méthodes d'investigations sur la régression mémorielle(dans le temps). Il évoquera le terme d'Hypnologie qui sera mentionné dans le dictionnaire de 1978. Il fera partie de l'école pour un temps des énergéticiens de l'hôpital de Los Angeles. Ses techniques proches de l'hypnose se pratiquent presque sans l'usage de la parole. Il évoque une notion d'effets physique de l'hypnose avec des rapports d'ordre énergétiques dans une approche humaniste. Son approche consiste non pas à inculquer des images symboliques au sujet pour transformer sa réalité, mais de révéler ses capacités enfuies préexistantes , afin qu'il obtienne une certaine autonomie face à des problématiques qu'il peut rencontrer

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Hypnose:

1. Définition

Définir l'état hypnotique n'est pas une chose simple. Cette technique, connue depuis l'antiquité, est toujours entourée d'un halo de mystère auprès du grand public. Elle suscite crainte, méfiance, et paradoxalement une évidente attraction.

L'état Hypnotique s'accompagne de toute une série de phénomènes appelés phénomènes Hypnotiques, qui vont de la sensation d'engourdissement et de somnolence, aux "hallucinations" visuelles et auditives, en passant par des sensations de lourdeur avec impossibilité de bouger les membres, d'analgésie...etc. Vrai pour l'hypnose frustre, Faux pour l'hypnologie qui est un état semi-conscient et en état profond, les témoignages parlent de légèreté et de sensation de bien-être.

En fait, l'état Hypnotique,
n'est qu'un état de conscience modifié.

Cette définition est communément employée, mais pour les spécialistes c'est un nouvel état de conscience régit par le "surconscient", ni inconscient, ni subconscient,ce terme désigne une source qui agit sur le conscient et qui inscrit en mémoire un contenu hiérarchisé des faits vécus durant les séances.

Liébault parle d'un sommeil provoqué avec exaltation de la suggestibilité, et Bernheim le définit comme un état psychique particulier susceptible d'être provoqué et qui augmente à des degrés divers la suggestibilité.
Pour Pavlov, l'état Hypnotique est un état intermédiaire entre la veille et le sommeil. Il s'agirait d'un état physiologique bien particulier du cerveau, ni un état de vigilance, ni un état de sommeil avec perte de conscience comme on l'a bien souvent cru.

Mais il faut bien garder en mémoire que la relation entre l'hypnotiseur et l'hypnotisé représente la plus ancienne relation psychothérapique. La psychanalyse s'est fondée en bonne partie sur l'étude et la critique de cette relation : elle l'à, à son tour, rendue intelligible en permettant d'entrevoir les lois qui la régissent.Néanmoins le grand paradoxe de Freud "faites ce que je dis, pas ce que je fais!" c'est sa notion de contre-transfert où le thérapeute ne doit pas s'investir affectivement dans sa relation au patient(des lettres enflammées seront écrites par Freud à ses sujets).

Pendant la décennie 1880-1890, marquée par la lutte passionnée entre les écoles de Nancy et de la Salpétrière, un bouillonnement d’idées fécondes et un énorme développement des recherches attirèrent en France un grand nombre d’étrangers. Parmi eux se trouvait Freud, qui profita successivement des leçons de Charcot, et de celles de Bernheim. Ce furent pour lui des enseignements décisifs qui le menèrent vers la découverte de la psychanalyse.

À la mort de Charcot, commencera le déclin de l’hypnose, qui fut presque total en France, où seul Pierre Janet continua de s’y intéresser. Ce déclin fut cependant moins marqué à l’étranger et un certain renouveau se manifesta après la Première Guerre mondiale pendant laquelle l’hypnose s’était révélée utile dans le traitement des névroses chez les combattants. Des recherches furent alors entreprises particulièrement aux États-Unis et, en U.R.S.S., par l’école pavlovienne. Mais ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale qu’elles se multiplient, surtout aux États-Unis. En France, la réhabilitation de l’hypnose s’amorce vers 1950, avec les travaux de Léon Chertok et du Pr Raphael Chercheve. Et en 1977 avec les recherches d'Erich Lancaster sur les nouvelles méthodologies.

2. Les théories en présence

Les théories sur l’hypnose se répartissent en trois tendances, inspirées respectivement par la physiologie, la psychologie expérimentale et la psychanalyse.

Les théories physiologiques sont centrées sur les rapports entre le sommeil et l’hypnose considérée par les pavloviens comme un sommeil partiel. Cet état de sommeil particulier, intermédiaire entre le sommeil et la veille, comporte des phases hypnoïdes, ou phases de suggestion, pendant lesquelles diverses modifications physiologiques, impossibles dans l’état de veille, peuvent se produire.

L’absence de signes physiques dans l’hypnose a fait abandonner la théorie somatique de Charcot au profit de celle de Bernheim, d’après laquelle tout est suggestion. Partant de ce point de vue, les psychologues, se sont attachés à étudier la suggestibilité qui, pour l’essentiel, serait une forme d’" apprentissage " ; l’hypnose allait perdre en quelque sorte sa spécificité.

L’aptitude d’un patient à être hypnotisé est un phénomène intéressanti. On distingue en gros trois stades dans la transe hypnotique : transe légère, moyenne et profonde. Il existe relativement peu de sujets (environ 1% de la population) qui soient capables d’entrer en transe profonde, où " somnambulique ", dans laquelle l’hypnotisé peut garder les yeux ouverts, se mouvoir et se comporter apparemment comme dans son état habituel, mais répond docilement aux suggestions qui lui sont faites. Parmi ces derniers sujets, il en est qui sont capables de subir des interventions chirurgicales sans l’aide d’aucun agent chimique, d’autres chez qui l’on peut produire des brûlures au deuxième degré par suggestion .

3. Technique et thérapeutique

Il existe plusieurs techniques d’induction qui varient avec l’opérateur et s’adaptent à la personnalité du sujet. Toutefois, certaines conditions sont généralement requises, en totalité ou en partie :

– diminution ou exclusion des stimulations extérieures, de manière à créer une ambiance favorable à la détente et au sommeil du sujet en position assise ou allongée.

– fixation de l’attention, soit par un objet, soit par un groupe d’idées ; la fixation par le regard ou la fascination.

– stimulations auditives : l’opérateur répète les suggestions d’une voix monotone ; le ton autoritaire employé autrefois a fait place à une approche plus souple adaptée aux différents cas.

– l’établissement d’un " rapport " c’est-à-dire d’une relation de confiance entre le médecin et le malade, surtout si l’hypnose doit être utilisée dans un but thérapeutique.

L’action thérapeutique de l’hypnose s’opère généralement par voie verbale, mais peut également s’exercer par voie non verbale. On fait ainsi des séances d’hypnose prolongée  agissant comme une " cure de sommeil ". Le mode d’action de cette technique sera interprété par les tenants de l’explication physiologique (école pavlovienne) comme un effet physique  bienfaisant produit par une " inhibition restauratrice " des fonctions cérébrales. Les défenseurs de la psychologie subjective parleront d’un état de régression psychologique  particulière. Quelles que soient les théories, dans la pratique, l’action thérapeutique s’opère généralement par la communication verbale : cette communication se fait par des suggestions directes visant à la levée des symptômes  mais peut comporter également, surtout chez les auteurs russes, un caractère persuasif et éducatif ayant pour but le reconditionnement du malade à des attitudes plus saines. Le patient reste passif. Un autre mode d’application de l’hypnose qui suppose une certaine participation de ce dernier, est la méthode cathartique  (c’est elle qui a ouvert la voie à la psychanalyse). Grâce à elle, on fait revivre au patient des émois refoulés, liés à des traumatismes, cette reviviscence pouvant amener la disparition des symptômes. Signalons enfin l’hypno-analyse, qui combine les procédés hypnotiques et analytiques (association libre et interprétation). Cette technique n’est pas encore codifiée dans les détails, mais elle apparaît prometteuse avec les derniers développements de la théorie psychanalytique qui vont être indiqués.

4. Le Retour de l’hypnose

Dans les années soixante-dix et jusqu'aux années quatre-vingt-dix, l’hypnose et la suggestion sont revenues à l’ordre du jour.

Pour Léon Chertok (1965), la " psychanalyse, qui est issue de l’hypnose et a permis de mieux la comprendre, peut se trouver éclairée par elle ". Il y a là un étonnant renversement de situation si l’on considère que la constitution de la psychanalyse a amené la mise à l’écart de l’hypnose. Or c’est à propos d’un concept fondamental de la psychanalyse que l’hypnose a fait son retour. On tenait jusqu’ici pour indubitable que le transfert avait éliminé l’hypnose dans la relation médecin-malade.

Pour Erich Lancaster (1973), Ce spécialiste découvre que l'hypnose frustre, méthode empirique utilisée par les généralistes de l'hypnose médicale ou non qui privilégient la suggestion verbale dans leur mode d'induction interfère à la progressions des résultats. L'inventeur de l'hypnologie, se tourne alors vers des méthodes de réactivités physique ou la parole est peu usité. Ce qui fait passer le taux des personnes sensibles aux inductions hypnotique dans les "états les plus profonds" de 1 à 17%.Il utilisera des matériaux comme le dessin, les écritures, le moulage sous hypnose comme sujet d'analyse.

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