L.I.R.P.H (Laboratoire international des pratiques nouvelles de recherche sur l'hypnose du Pr. Bressieux)
L'hypnologie se différencie de l'hypnose traditionnelle ou méthodes brèves aussi sur un plan théorique.
L'hypnose Ericksonniene ou frustre parle d'un état modifié de conscience et se réfère souvent
au langage Freudien alors que l'hypnologie parle d'une autre conscience, l'un se référant à l'inconscient
ou subconscient et l'autre se référant au "Surconscient".
L'hypnose frustre dans sa définition moderne à tendance à vouloir rassurer, comme si le fait de perdre
pour un instant la notion du "Moi" pouvait dans les consciences collectives être associé au mot "Folie"
ou ne plus être capable de maîtrise d'une situation.Les hypnothérapeutes souvent à travers leurs messages
publicitaire cherchent par tous les moyens de circoncire leurs propres projections, peurs, émotions,
affects vis à vis de leur pratique.La notion de "sommeil" pour parler des états d'hypnose est souvent bannie,
alors que l'hypnologie l'inclu dans sa théorie, sachant que l'électroencéphalogramme dans certaines circonstences
a démontrer que le patient touchait par phases parfois au SP(sommeil paradoxale) et au SLP(sommeil lent profond).
Dire que l'on va avoir accès à une autre conscience est plus juste scientifiquement que prétendre que dans ces états
d'hypnose l'on va garder tous les attribus lié au "Surmoi"(protections, interdits).Sachant que c'est bien le Surmoi qui
fait obstacle à l'approche de la réalité, et qu'il faut dépasser le schéma infernal classique pour avoir accès à des données
objectives dont l'hypnose présente un des moyens d'approche.En d'autres termes la profondeur de l'état impacte nécessairement sur les résultats,
un état de veille de nature trop légère peut apporter la confusion entre l'imaginaire le "ça" et la réalité encore interdite par le "Surmoi".
L'hypnologie ou communication avec le "surconscient"(concept Erich Lancaster) à été la première à démontrer que lors d'une suggestion
post-hypnotique au stade profond de l'hypnose avant le réveil du patient "comme quoi celui-ci allait se rapeler de tout ce qu'il avait
vécu durant la séance"mettait le patient en relation avec sa mémoire à long terme d'une manière inattendue.En d'autres termes le sujet
évoque les séquences de sa séance avec spontanéité, une précision chronologique et détaillée. Mieux il apportera des objections
sur la réalité des sources de ses comportements et conduites pour certaines étapes.Cet expression le met en phase avec sa propre
réalité et lui permet une auto-analyse.
L'hypnologie à démontré également que l'hypnose est un état "sécuritaire" à l'inverse de l'auto-hypnose qui elle présente
certains dangers, notamment quand la personne fait appel inconsciemment à des processus de défense, cas que l'on retrouve
lorsque celle-ci à beaucoup de mal à se réveillé, dangers aussi en cas d'épilepsie.
L'hypnologie dans sa pratique n'a pas besoin de se prémunir contre une possible mise en oeuvre par le sujet de processus de défense,
ce proccessus est remplacé par un autre qui font partie des attributions du Surconscient, renforcé par le lien lors des états d'hypnose avec
le praticien qui n'est jamais rompu.
La pratique de l'hypnologie possède une phase post-opératoire qui prodigue un travail de réparation des situations émotionnelles. En effet,
Erich lancaster met l'accent sur les personnalités fragiles qui n'ont pas les ressources nécessaires pour sortir comme il dit"de leur prison intérieure
où ils somatisent".Cette approche curative à ce stade est considérée comme méthode douce qui restitue l'intégrité de la personne associée à un sens
approfondi de liberté.
Pour schématiser, l'hypnologie ce concentre d'avantage sur le rapport des sensations physique que peut éprouver le sujet, plus que ces
narrations de charge affectives et émotionnelles avec le contexte.Donc, la mise sous hypnose nécessite peu de formulations imaginaires
et donc peu de suggestions verbales.
Dans le cas de remplacement d'idées négatives par des idées ou images positives, le rôle de l'hypnologue est de rechercher des situations vécues
par le sujet et de les réactualisées sachant qu'il touche à la mémoire à long terme ses soins ont donc une durabilité dans le temps,
contrairement à l'hypnose traditionnelle ou moderne qui demande au patient un effort de volonté imaginatif à l'aide d'images positives extérieur à lui,
donc sans garanties de durabilité puisque fictives.----